mercredi 2 avril 2008

1.2 Le cimetière francais


Il ne reste pas grand chose du cimetière français et cela n'est pas étonnant, car après la décolonisation tout les corps ont été rapatriés. On peut cependant aujourd'hui encore en apercevoir la trame; En effet les pins l'entoure encore ainsi que la muraille en ruine. De nos jours ce terrain ombragé constitue un bon terrain de jeu pour les jeunes.







Illustration 53: Le cimetière français vu d'ensemble



Illustration 54: cimetière français: les escaliers


Ces escaliers devaient certainement monter jusqu'à une stèle commémorative dont il ne reste plus rien aujourd'hui.




Illustration 55: cimetière français: la dernière stéle encore lisible.


Surprise! Il reste encore une pierre tombale en état d'être lu, les autres morceaux de marbre ayant été effacés (par je ne sais qui). Il s'agit ici de Mr Christian Casimir Roumens chef de bataillon du 2eme régiment des tirailleurs algériens mortellement blessé le 22 mai 1911d'une balle dans le ventre lors d'un combat contre les Béni Riis, il en est mort le lendemain. Une phrase qu'il aurait prononcé alors qu'il était blessé est devenue célèbre :
“j'ai une balle dans le ventre, depuis une demi heure, mais il ne faut pas le dire”.


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